Et n’est-ce pas ça finalement le vrai luxe ? Découvrir des pièces uniques et sur-mesure, des collections éphémères, des accessoires venus du bout du monde, qui tous ont une histoire… Avec leur passion débordante et leur énergie contagieuse, elles ont réussi à allier des aspects trop souvent opposés, l’exclusivité et le partage. Car derrière chaque objet, chaque vêtement et chaque accessoire se cache une histoire, drôle ou poignante, parfois les deux, qu’elles prennent plaisir à nous raconter, à nous transmettre, comme une histoire de famille ou une légende de tribu.
On sent dans leur enthousiasme qu’elles ne fonctionnent qu’au coup de cœur. Et le résultat est étonnant! Mélange hétéroclite mais cohérent, la boutique Anamar est un petit univers en soi, où l’on aime prendre son temps, fouiller, farfouiller même, dans le grand meuble aux tiroirs innombrables qui renferment autant de merveilles, de bijoux et d’accessoires.
« Nous voulions un endroit qui soit beaucoup plus qu’une simple boutique avec de jolies choses dedans. Les gens se sentent bien ici, ils papotent, nous posent des questions, nous racontent leur vie, en buvant un thé. C’est un lieu d’échange et de découverte autant qu’un lieu de shopping. »
« Nos clientes ont tous les âges, certaines viennent avec leur maman, leur fille ou leur grand-mère et chacune trouve son bonheur, se laisse surprendre et séduire. »
Elles pourraient presque être mère et fille, elles ont été patronne et employée, aujourd’hui, elles sont associées, amies et sur la même longueur d’onde.
« On est comme une mère et sa fille, sauf qu’on se vouvoie ! »
« Bruxelles est au cœur de tout, près de tout et en même temps assez unique. La vie y est très agréable et les gens sont avides de nouveautés, de découvertes et surtout d’authenticité. ça a été une évidence pour nous et lors de notre première visite, il nous a fallu moins d’une journée pour trouver l’endroit idéal ! »
« Nous ne travaillons qu’avec des gens qui nous inspirent et nos fournisseurs deviennent le plus souvent des amis. L’aspect humain est toujours au centre de notre sélection. Une collection peut être exceptionnelle, si les gens qui la dirigent sont négatifs, tant pis, on s’en passe. »